Bachelier de l’UQAM et avocat épris des enjeux juridiques environnementaux, détenteur d’une maîtrise en administration des affaires et œuvrant aujourd’hui en entreprise après avoir travaillé à son compte et en cabinet, Cédric a la forte conviction que, en cette période trouble d’urgence environnementale, les moyens de vigie, d’action et d’information juridiques du CQDE sont plus pertinents que jamais pour la société québécoise. Il désire ardemment s’investir comme président du conseil d’administration. En cette année charnière, il souhaite continuer à opérer la transition nécessaire de l’organisation vers une OBNL agile, financièrement robuste et active.

Détentrice d’un baccalauréat en droit civil et d’une maîtrise en common law et droit transnational, Anne-Julie Asselin est également diplômée en affaires publiques et relations internationales, concentration politiques publiques et environnement. Après un stage d’un an à la Cour suprême du Canada comme auxiliaire juridique auprès du juge Richard Wagner en 2014-2015, elle s’est jointe au cabinet Trudel Johnston & Lespérance, spécialisé dans les actions collectives et le litige d’intérêt public. Elle pratique notamment dans les domaines du droit de l’environnement et des droits et libertés de la personne. Elle a par exemple représenté des citoyens de Malartic aux prises avec les nuisances venant d’une mine à ciel ouvert en milieu urbain et ceux de Cap-Rouge dans leur litige contre l’usine de peinture Anacolor. Elle siège au conseil d’administration du Centre québécois du droit de l’environnement depuis 2016.

François Brochu est notaire, docteur en droit (Université Aix-Marseille III) et professeur titulaire à la Faculté de droit de l’Université Laval. En plus de diriger le programme de maîtrise en droit notarial, il contribue à la formation des arpenteurs-géomètres (Département des sciences géomatiques de l’Université Laval) et des étudiants en gestion urbaine et immobilière (Faculté des sciences de l’administration). Ses principaux domaines d’enseignement et de recherche sont le droit immobilier et la publicité foncière. Il est également codirecteur de la Revue du notariat. Il a obtenu, en septembre 2018, le prix Guy-Rocher, décerné par la ministre de l’Enseignement supérieur, qui reconnaît l’excellence en enseignement et l’innovation pédagogique.

Avocate de formation, gestionnaire et conseillère stratégique d’expérience, Me Hobeika s’est donnée pour mission d’aider les organisations à croître de manière durable. 

Son souhait est d’agir à l’intersection des milieux gouvernementaux, sociaux, académiques et d’affaires. Elle choisit aujourd’hui de le faire en abordant les changements climatiques, un enjeu global et complexe dans lequel se spécialise le cabinet aviseur en stratégie climatique qu’elle a cofondé. Dans ce travail, elle met à profit son expérience fine et directe de l’élaboration et de la mise en œuvre de politiques publiques, des rouages du gouvernement et des processus législatifs et réglementaires. 

Me Hobeika est titulaire de baccalauréats en droit civil et en common law de l’Université McGill et membre du Barreau du Québec depuis 2006. Elle est également détentrice d’une maîtrise en administration des affaires des universités HEC Montréal et McGill (programme exécutif).

Camille est diplômée de la faculté de droit de l’Université de Montréal et membre du Barreau du Québec depuis 2015. Après une pratique juridique en Europe dans le domaine du sport international, elle a entrepris un virage professionnel en complétant une maîtrise en gestion de l’environnement de l’Université de Sherbrooke. Son essai de maîtrise rallie les sujets du droit et de la gestion des ressources naturelles en traitant du principe de consentement autochtone préalable, libre et éclairé en contexte d’exploitation des ressources dans le Nord québécois. Camille travaille en tant qu’analyste des lois et des politiques dans le département de l’environnement, de la faune et de la recherche à la Société Makivik. Elle mobilise ses connaissances en matière de gouvernance du territoire et des ressources dans le cadre de la Convention de la Baie-James et du Nord québécois et de l’Accord sur les revendications territoriales des Inuit du Nunavik, afin de veiller à une planification, une gestion et une exploitation territoriale en phase avec les droits, les besoins et les priorités des Inuit du Nunavik.  

Diplômé en histoire et en droit, enseignant au Cégep de Jonquière de 2001 à 2007, Sylvain Gaudreault a été député de Jonquière à l’Assemblée nationale du Québec de 2007 à 2022. Il a été ministre des Transports et ministre des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du territoire de 2012 en 2014, puis chef de l’Opposition officielle en 2016. Retiré de la politique en 2022, il est directeur général du Cégep de Jonquière depuis décembre 2022. Il a publié « Pragmatique. Quand le climat dicte l’action politique » (Somme toute, 2021).

Directrice principale des affaires communautaires à TELUS, Marine compte 20 ans d’expérience dans les secteurs privé et caritatif, tant en relations publiques qu’en investissement communautaire. Elle dirige le comité d’investissement communautaire de TELUS à Montréal et met en action l’engagement de TELUS au bénéfice d’initiatives caritatives en santé, en éducation et en environnement. Titulaire de baccalauréats en Études françaises à l’Université de Montréal et en Communications à l’UQÀM, elle est également détentrice d’un MBA à HEC Montréal. Sensible à l’engagement bénévole et à l’importance de contribuer à des initiatives visant le bien commun, elle a à cœur les enjeux environnementaux et se réjouit de mettre à contribution sa connaissance du milieu communautaire et de la philanthropie corporative au bénéfice du CQDE.

Stéphanie Roy est membre du Barreau depuis 2011 et a œuvré à titre d’avocate en droit des assurances et de la responsabilité civile jusqu’en 2013. Désirant contribuer au développement des connaissances relatives à la crise environnementale actuelle, elle a par la suite complété une maîtrise en droit, spécialisée en environnement, à l’Université McGill en 2015. Son mémoire, intitulé La répartition des risques liés à l’exploitation des hydrocarbures d’Old Harry : étude de la responsabilité en cas de déversement, a d’ailleurs remporté le prix Michel-Robert et sera publié aux Éditions Yvon Blais.

Actuellement professeure à l’Université de Sherbrooke, elle a complété son doctorat en droit administratif à l’Université Laval, sous la direction du professeur Pierre Lemieux. Ses travaux de recherche et son enseignement portent sur le droit administratif, le droit de l’environnement et la gouvernance environnementale. Elle s’intéresse particulièrement aux obligations de l’État de protéger l’environnement dans l’intérêt des générations futures et au pouvoir des tribunaux de contrôler l’action administrative.

Étienne est conseiller chez COPTICOM, Stratégies et Relations publiques, où il agit à titre d’expert-conseil au niveau des stratégies et des activités de communication pour des mandats touchant à la fois à la lutte contre les changements climatiques, l’électrification de l’économie, la mobilité durable et la protection de l’environnement. Préalablement, il a travaillé comme conseiller politique à l’Assemblée nationale du Québec de 2013 à 2018 où il a été auteur de nombreux positionnements stratégiques en matière environnementale pour le Parti Québécois. Étienne s’est joint au conseil d’administration du CQDE en 2019, persuadé que la justice environnementale joue un rôle incontournable pour améliorer l’état de notre environnement. 

Me Patterson est avocate et associée chez Dionne Schulze s.e.n.c. et pratique principalement en droit autochtone et commercial. Elle représente des entités autochtones (gouvernements, entreprises et organisations à but non lucratif).

Me Patterson conseille les clients en matière de gouvernance, d’obligation de consulter les autochtones, de processus d’octroi d’autorisations environnementales et aussi relativement à la protection de la culture autochtone et des renseignements personnels. Elle rédige et négocie aussi divers types de contrats commerciaux.

Elisabeth est impliquée dans des projets de formation et de réforme juridique en Amérique latine, notamment avec Avocats sans frontières Canada, et a travaillé sur un dossier devant la Commission interaméricaine des droits de l’homme. Elle travaille en français, anglais et espagnol.

Bachelier de l’UQAM et détenteur d’une maîtrise en droit de l’Université de Montréal, Maxime est passionné par l’agriculture durable et la protection de la biodiversité.  Cette passion s’est exprimée notamment par la rédaction de son mémoire sur le label bio. Il travaille depuis 2013 comme Directeur chez la société d’informations juridiques et agence de presse Thomson Reuters (Éditions Yvon Blais au Québec). Dans le cadre de ses fonctions, Maxime représente la voix de la diversité d’acteurs de la communauté juridique, avec pour but d’améliorer l’efficacité de leur pratique et dans l’espoir que cela facilitera en retour l’accès à la justice.

Véronique Tousignant est directrice et associée chez EEM Gestion ESS inc. Elle travaille dans le domaine de la consultation en environnement depuis 2006 et se spécialise dans l’implantation et le maintien des systèmes de gestion en environnement, santé et sécurité ainsi que la conformité réglementaire en environnement. En plus de participer à de nombreux mandats d’audit ou de consultation, Véronique est en charge des processus administratifs, des finances et des ressources humaines chez EEM et Présidente du Conseil d’administration. Elle détient un Baccalauréat en relations internationales et droit international et une Maîtrise en administration des affaires.

Hugo Tremblay est professeur adjoint à la Faculté de droit de l’Université de Montréal depuis novembre 2014. Ses recherches portent sur le droit des ressources naturelles, de l’énergie et de l’environnement.

Préalablement, Hugo a pratiqué le litige en responsabilité professionnelle et en droit de l’assurance pendant quelques années. Il a aussi été administrateur et vice-président du Centre québécois du droit de l’environnement, et il a travaillé au Conseil mondial de l’eau.

Hugo est diplômé de l’Université McGill (B.A.), de l’Université de Montréal (LL.B.), de l’Université Laval (LL.M.), et du Centre for Water Law, Policy and Science de l’University of Dundee sous les auspices de l’UNESCO (PhD). Il a complété un postdoctorat au Centre de Recherche en Droit Public de la Faculté de droit de l’Université de Montréal. Il est avocat au Barreau du Québec depuis 2001.

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